J’ai décidé d’y jeter un coup d’oeil,
Parce qu’il a décidé de passer le seuil,
De la maison de mes aïeuls.
Ils tombent tous comme des feuilles,
La mort ne les emmène pas toujours dans un cercueil,
Mais les fantômes revêtent leurs linceuls.
Je me rends compte que je dois être dans l’accueil,
Mais je me méfie toujours des miroirs en trompe-l’oeil,
Qui me disent que tout ça c’est pour ne pas rester seul.
C’est peut-être ma façon de pousser un coup de gueule,
Parce que ce n’est pas juste de devenir le garde-meuble,
De ces proches qui m’ont aidé à franchir les écueils.
Ce n’est pas juste en effet… et le poème est magnifique.