Lu sur le mur d’un parloir :
Combien… Combien de mots couleront entre ces murs avant qu’ils débordent et ainsi puissent passer au-delà des idées reçues. Un peu de vie… un peu plus. David S.
Leave a CommentLu sur le mur d’un parloir :
Combien… Combien de mots couleront entre ces murs avant qu’ils débordent et ainsi puissent passer au-delà des idées reçues. Un peu de vie… un peu plus. David S.
Leave a CommentJe suis très fier de porter ce tshirt conçu pour moi par Téha Galliano, l’une des stagiaires de la Formation Initiale du Praticien Narratif que nous avons terminée en juillet dernier avec Catherine Mengelle. C’est une chose de former aux Pratiques Narratives et notamment à la documentation, puissant support de toute conversation identitaire, c’en est une autre de recevoir par La Poste un tshirt narratif qui proclame l’une de mes histoires préférées: “Super’Angelo, le pouvoir du mot”. Je suis en permanence surpris par la générosité et la créativité des Praticiens Narratifs que nous formons à La Fabrique Narrative.
1 CommentC’est l’expression que j’ai entendue ce matin à la prison où je me rends en tant que visiteur de prison. J’attendais mon détenu depuis 1/2 heure, tranquillement assis sur un banc, pas loin d’un groupe de jeunes et moins jeunes, et tout d’un coup j’entends ces bribes de paroles : “Les parloirs fantômes… il y a qui pour toi ? y a personne, personne”. Petite recherche sur Internet et je tombe sur “Parloir Fantôme”, une chanson de Rim’K, quelques extraits :
Mais c’est chelou ça fait trois mois qu’j’ai pas d’courrier
J’bouffe que d’la purée, cantinée par un gars vrai
…
Au parloir même les fantômes se sont barrés
…
Y a qui pour toi ? Y a personne et toi ? Y a personne
Hasoul, victimes d un parloir fantôme
…
On t’oublie vite, dès la mise en examen
Dehors t’as pleins d’potes, un peu d’salopes
Mais t’as des potes en fait c’est des salopes
Au bout du compte, t’as plus de salopes que d’potes
Réveillé par les cris d’un parloir sauvage
Le vide d’un parloir fantôme, la fuite de l’entourage
c’est toi et ta merde…
A tout le monde, la dignité.
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